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PHYSIOTHÉRAPIE FAMILIALE À MONTRÉAL

TRAITEMENT DES BLESSURES QUOTIDIENNES ET RÉADAPTATION POUR TOUS LES ÂGES

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Physiothérapie familiale
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Physiothérapie générale

Que ce soit pour récupérer d’une blessure, soulager vos douleurs, améliorer votre mobilité, ou pour vous aider à vaquer à vos activités quotidiennes, nous sommes là pour vous aider! 

Rééducation périnéale et pelvienne

Un service dédié au soutien et à la restauration de la fonction pelvienne, aidant à la fois les femmes et les hommes à retrouver équilibre et confort.

Pédiatrie

 Nos thérapeutes sont formés pour adresser les besoins uniques des plus jeunes, offrant des soins adaptés à leurs besoins spécifiques.

Service adapté

Nos thérapeutes dédiés en ostéopathie, massothérapie, et acupuncture  mettent en commun leurs compétences pour optimiser votre santé globale et prévenir les blessures.

MOTIFS DE CONSULTATION

QUAND DEVRIONS NOUS CONSULTER UN PHYSIOTHÉRAPEUTE ?

LES CONDITIONS LES PLUS TRAITÉES

ÉPICONDYLITE MÉDIALE (golfer's elbow)
L’épicondylite médiale, ou « tendinite du golfeur », est une douleur au tendon des fléchisseurs du poignet, située à l’intérieur du coude et pouvant s’étendre dans l’avant-bras jusqu’au poignet. Elle apparaît surtout à cause de gestes répétés, fréquente chez les golfeurs, lanceurs, joueurs de tennis ou travailleurs manuels. Une augmentation soudaine de l’activité, comme un voyage de golf ou des travaux de rénovation, peut aussi la déclencher. Prise en charge rapidement en physiothérapie, elle peut être traitée efficacement grâce à la thérapie manuelle et à des exercices adaptés, permettant de soulager la douleur, de retrouver la mobilité et de corriger les mouvements.
ÉPICONDYLITE LATÉRALE (TENNIS ELBOW)
L’épicondylite latérale, aussi appelée « Tennis Elbow », est une tendinopathie douloureuse du tendon des extenseurs du poignet. Elle cause une douleur à l’extérieur du coude pouvant irradier dans l’avant-bras ou le poignet, souvent ressentie lors de gestes simples comme saisir une tasse, tourner une poignée de porte ou utiliser un outil. Cette condition apparaît principalement à la suite de mouvements répétés en force du poignet et de la main. Elle touche fréquemment les travailleurs manuels et les joueurs de tennis, et peut survenir après une surutilisation prolongée ou une reprise soudaine d’activité, comme lors de rénovations ou au retour d’un sport de raquette. Une prise en charge rapide en physiothérapie permet de freiner sa progression et de soulager la douleur avant qu’elle n’empêche de travailler ou de pratiquer ses activités. La combinaison de thérapie manuelle et d’exercices personnalisés aide à accélérer la guérison, retrouver la mobilité et améliorer la biomécanique du bras.
ANKYLOSE POST FRACTURE / IMMOBILISATION
Après une fracture ou une luxation, l’immobilisation partielle ou totale d’un membre entraîne rapidement raideur articulaire, perte de force et diminution du contrôle moteur. Plus la période d’immobilisation est longue, plus les conséquences sont importantes. Une articulation immobilisée trop longtemps peut perdre une partie de sa mobilité, limitant ainsi les activités sportives ou professionnelles. Le corps compense alors par d’autres régions, ce qui augmente le risque de blessures, notamment au dos ou à l’épaule. Commencer rapidement la physiothérapie et les exercices à domicile permet de prévenir ces effets à long terme. Les traitements ciblent les facteurs musculaires et ligamentaires responsables de la raideur et, grâce à un programme d’exercices progressif, aident à retrouver force, mobilité et contrôle des mouvements.
ENTORSE LIGAMENTAIRE
Une entorse correspond à un ligament étiré ou déchiré, souvent causée par un mouvement brusque ou un contact. Les chevilles et les genoux sont les plus touchés, surtout dans les sports avec contacts ou changements de direction. 1er degré : Atteinte légère, sans perte de stabilité. Douleur lors du mouvement, peu ou pas d’enflure. 2e degré : Déchirure partielle, stabilité diminuée. Douleur au repos et au mouvement, enflure et ecchymoses fréquentes. Sensation d’instabilité possible. La physiothérapie est essentielle pour éviter les récidives. 3e degré : Déchirure complète, perte importante de stabilité. Souvent associé à d’autres blessures (ménisque, fracture). La chirurgie est généralement nécessaire. La majorité des entorses peuvent être diagnostiquées et traitées en physiothérapie. Toutefois, les cas graves nécessitent une imagerie médicale. Comme les ligaments cicatrisent mal, une rééducation adaptée — exercices de renforcement et de contrôle moteur — est indispensable pour réduire les risques de récidive et protéger l’articulation.
DÉCHIRURE MÉNISCALE AU GENOU
Le genou possède deux ménisques (médial et latéral), des anneaux de fibrocartilage qui stabilisent l’articulation et réduisent la pression sur les os. Ils peuvent être lésés à la suite d’un traumatisme (choc, entorse) ou de façon progressive avec les années. Les lésions vont d’une petite fissure visible à l’IRM jusqu’à une déchirure complète. Comme les ménisques sont peu vascularisés, leur capacité de guérison est limitée, et la chirurgie consiste souvent à retirer une partie endommagée. Cependant, retirer une portion du ménisque ne garantit pas la disparition de la douleur et peut affecter la stabilité et la biomécanique du genou, augmentant le risque d’arthrose précoce. La chirurgie devrait être envisagée surtout si le ménisque bloque le mouvement malgré un traitement en physiothérapie. Un diagnostic précis peut être confirmé par imagerie, mais un physiothérapeute peut identifier une lésion méniscale par des signes cliniques, comme un blocage du genou en descendant des escaliers, en s’asseyant ou en faisant un squat. Dans plusieurs cas, la physiothérapie suffit à diminuer la douleur, corriger les mouvements et prévenir l’aggravation de la lésion, évitant ainsi une chirurgie.
DOULEUR OU PINCEMENT À L'AINE
Les douleurs à l’aine peuvent avoir plusieurs causes, notamment des tensions ou claquages musculaires, ou un manque de mobilité de la hanche. Une sensation de pincement peut apparaître en pliant la hanche ou en croisant la jambe, souvent observée chez les joueurs de hockey en raison des efforts répétés du patinage. Les tensions des petits muscles stabilisateurs limitent alors la mobilité et modifient le mouvement de l’articulation. La hanche, articulation sphérique, peut aussi devenir douloureuse si le labrum (rebord cartilagineux) se coince entre les os, un peu comme les ménisques du genou. Heureusement, redonner souplesse et mobilité à la hanche aide à rétablir une biomécanique optimale et sans douleur. Enfin, certaines douleurs à l’aine peuvent provenir du dos ou être associées à des douleurs au genou ou dans la région génitale. Dans ces cas, une consultation en physiothérapie ou en médecine est essentielle pour écarter toute atteinte plus grave.
CLAQUAGE MUSCULAIRE
Un claquage musculaire survient lors d’un effort intense avec étirement du muscle, provoquant une douleur vive et un arrêt immédiat de l’activité. Il s’agit d’une déchirure musculaire de gravité variable, classée en trois grades. Grade 1 : simple élongation, douleur au mouvement et parfois légère perte de force. Grade 2 : déchirure partielle, douleur importante, perte de force notable, parfois chirurgie nécessaire. Grade 3 : déchirure complète, perte de force totale, saignement sous-cutané, chirurgie urgente. Les symptômes (douleur, perte de mouvement ou de force) varient selon la gravité. Un repos relatif avec exercices circulatoires est essentiel pour favoriser la guérison. Une prise en charge rapide en physiothérapie permet d’éviter l’affaiblissement musculaire, les compensations et les récidives lors du retour au sport.
RÉADAPTATION POSTOPÉRATOIRE EN ORTHOPÉDIE
Après une chirurgie orthopédique (fracture, prothèse ou autre intervention), la physiothérapie est essentielle pour retrouver mobilité, force et fonction. Une prise en charge rapide permet d’accélérer la récupération et d’adapter les exercices à vos besoins. Les services publics se concentrent surtout sur l’autonomie à la maison, mais pour reprendre le sport ou le travail en toute sécurité, il faut aussi rétablir la force, le contrôle et la mobilité afin de prévenir les blessures. Grâce à notre expertise en physiothérapie sportive, nous vous accompagnons vers un retour plus rapide et sécuritaire à vos activités.
HERNIE DISCALE
Une hernie discale correspond à l’atteinte d’un disque intervertébral, le plus souvent au cou ou au bas du dos. Elle cause des douleurs locales ou irradiantes vers les bras ou les jambes, parfois accompagnées d’une sensation de blocage. Être couché soulage souvent la douleur en diminuant la pression sur la colonne. Elle peut aussi provoquer des symptômes neurologiques (picotements, engourdissements, faiblesse), qui nécessitent une évaluation rapide. En cas de symptômes bilatéraux, associés à des troubles urinaires, fécaux ou une perte de sensibilité génitale, il s’agit d’une urgence médicale. Les signes peuvent ressembler à une entorse lombaire ou à une sciatalgie. Une évaluation en physiothérapie aide à préciser le diagnostic, orienter vers la médecine si nécessaire et mettre en place des traitements adaptés pour soulager la douleur, retrouver mobilité et améliorer la posture.
LOMBALGIE / SCIATALGIE / ENTORSE LOMBAIRE
Les douleurs au bas du dos, ou lombalgies, sont très fréquentes et peuvent apparaître après un effort soudain ou s’installer progressivement. Elles résultent souvent d’une combinaison de facteurs : tensions musculaires, manque de mobilité, posture au travail, à la maison ou même pendant le sommeil. Trouver une posture adéquate aide déjà à réduire les douleurs. Certaines lombalgies s’accompagnent de sciatalgies, avec des douleurs irradiant dans la jambe et parfois des engourdissements ou sensations de brûlure. Ces problèmes touchent autant les sportifs que les travailleurs manuels ou de bureau. Même si la douleur peut disparaître temporairement avec le repos, les causes sous-jacentes (mobilité, posture, contrôle moteur) persistent et s’aggravent avec le temps. La physiothérapie permet de cibler et corriger ces facteurs, afin de soulager la douleur et prévenir les récidives. Notre objectif est de vous donner les outils pour prendre soin de votre dos au quotidien, plutôt que d’apprendre à vivre avec la douleur.
TENDINITE / TENDINOPATHIE / TENDINOSE
Les tendinites et tendinopathies touchent les tendons, qui relient le muscle à l’os. Le terme est généralement associé au tendon atteint (ex. : tendon d’Achille, coiffe des rotateurs). Tendinite : inflammation à court terme, souvent causée par une surutilisation soudaine (ex. : début d’entraînement intense). Elle provoque douleur, brûlure ou élancement, plus marqués le matin ou après l’effort. Le repos relatif et les exercices spécifiques sont plus efficaces qu’un repos complet. Tendinopathie : usure à long terme, souvent liée à une surutilisation chronique ou une tendinite mal guérie. Le tendon perd son alignement, peut se fissurer et, dans les cas sévères, se rompre. Le traitement vise à réduire la douleur, corriger les mouvements et améliorer mobilité, posture, force et contrôle moteur. Avec des exercices adaptés, on peut protéger le tendon, reprendre les activités plus facilement et éviter les récidives.
BURSITE / BURSOPATHIE
Une bursite est une inflammation d’une bourse, petit coussin entre un os et les tendons, souvent au niveau de l’épaule ou du genou. La plus fréquente est la bursite d’épaule, qui se distingue d’une capsulite par une évolution plus rapide et des symptômes soulagés en quelques jours avec glace et anti-inflammatoires. Elle peut résulter d’un traumatisme ou de microtraumatismes répétés, comme la bursite du coude (« bursite de l’étudiant ») causée par un appui prolongé. Sans traitement, une bursite peut évoluer en bursopathie, entraînant douleurs persistantes et perte de mobilité.
CAPSULITE RÉTRACTILE
La capsulite est une affection de l’épaule qui évolue lentement en trois phases (douloureuse, rétractile et régressive), durant en moyenne 30 mois. Elle touche surtout les femmes entre 50 et 70 ans, généralement à l’épaule non dominante. Bien qu’incommodante, elle laisse rarement des séquelles et récidive très peu. La première phase provoque des douleurs, surtout la nuit, sans grande limitation de mouvement. Une prise en charge rapide en physiothérapie aide à réduire la raideur et à mieux tolérer les exercices. La deuxième phase entraîne raideur et perte de mobilité, rendant difficiles les activités quotidiennes. Les traitements combinant physiothérapie (exercices, étirements, mobilisations) et parfois injections de corticostéroïdes permettent d’améliorer plus rapidement l’amplitude. La troisième phase correspond à la régression des symptômes et au retour graduel de la mobilité, qui peut prendre 12 à 42 mois. Poursuivre les exercices est essentiel pour retrouver force et contrôle musculaire. Même si la capsulite est très limitante, le repos complet est déconseillé : il faut maintenir un minimum d’activité et suivre les exercices prescrits afin de faciliter la récupération et d’éviter d’autres complications.
CERVICALGIE / CERVICO-BRACHIALGIE
La cervicalgie est une douleur provenant du cou, parfois ressentie comme des maux de tête ou des douleurs dans le haut du dos et les épaules. Elle est souvent causée par des tensions musculaires, un manque de mobilité des vertèbres ou une compression nerveuse. La posture joue un rôle majeur : un mauvais alignement du dos et du cou augmente la tension et limite les mouvements. On distingue les douleurs mécaniques (pincements ou blocages lors des mouvements de la tête) et les douleurs neurologiques (brûlures, engourdissements, décharges électriques). Ces dernières peuvent s’aggraver avec l’activité, la fatigue ou le stress. Dans certains cas, elles s’étendent au bras ou à la main (cervico-brachialgie), car les nerfs du bras prennent naissance dans le cou. Il est essentiel de consulter rapidement si les douleurs sont accompagnées de vertiges, troubles de vision, pertes de force ou de sensibilité. La physiothérapie aide à réduire la douleur, restaurer la mobilité et améliorer la posture, tout en vous donnant les outils pour éviter les récidives.
SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN
Le syndrome du tunnel carpien est causé par la compression du nerf médian au poignet. Il entraîne engourdissements, douleurs au pouce et aux doigts, parfois des sensations de brûlure ou de froid, surtout la nuit ou lors d’activités manuelles. Il peut aussi provoquer une perte de force et de dextérité. Ce problème peut résulter d’un espace réduit dans le canal carpien ou d’années de travail manuel. Parfois, d’autres compressions du nerf (au coude, à l’épaule ou au dos) aggravent la sensibilité, d’où l’importance d’une approche globale. La physiothérapie aide souvent à éviter la chirurgie. Le port d’une orthèse la nuit peut soulager à court terme, mais si les symptômes persistent plus de 6 mois malgré les traitements, une chirurgie de décompression peut être nécessaire.
FASCITE PLANTAIRE
La fasciite plantaire provoque des douleurs sous le pied, surtout lors des premiers pas le matin, de la marche ou de la course. Elle touche l’aponévrose plantaire, une lame fibreuse qui soutient l’arche du pied et absorbe les chocs. Lorsque l’arche s’aplatit, le fascia s’étire et devient douloureux. Cette condition apparaît graduellement, souvent chez les coureurs, les personnes avec un pied plat ou celles qui passent de longues heures debout. Elle peut être déclenchée par un changement de chaussures, une modification du volume d’entraînement ou de la technique de course. Les orthèses soulagent en soutenant l’arche, mais ne corrigent pas la mécanique du pied. La physiothérapie, avec repos relatif, exercices de relâchement et renforcement, permet de traiter efficacement la fasciite plantaire et d’en réduire les récidives.
SYNDROME FÉMORO-PATELLAIRE
Le syndrome fémoro-patellaire regroupe plusieurs problèmes liés au frottement de la rotule sur le fémur. Il se manifeste par une douleur à l’avant ou sur le côté du genou, souvent en descendant les escaliers, en courant, en nageant ou en randonnée. La douleur peut aussi apparaître en position assise prolongée, comme à l’école ou en voiture, et varie selon la posture du genou. Ce syndrome est généralement causé par un débalancement musculaire des cuisses ou des fessiers, parfois combiné à des raideurs articulaires, une mauvaise posture ou une technique sportive inadéquate. Si le repos, la glace et les anti-inflammatoires soulagent temporairement, seule une rééducation progressive permet de corriger les causes. La physiothérapie, avec exercices ciblés de renforcement et de contrôle moteur, aide à réduire la douleur et à reprendre les activités de façon sécuritaire.
SYNDROME DE LA BANDELETTE ILIO-TIBIALE
Le syndrome de la bandelette ilio-tibiale touche surtout les coureurs et provoque des douleurs sur le côté du genou ou de la cuisse. Il résulte du frottement répété de la bandelette (un tissu fibreux reliant la hanche au genou) sur l’os, ce qui peut entraîner irritation et enflure. Il apparaît souvent après une augmentation soudaine du volume ou de l’intensité d’entraînement, ou un changement de surface ou de dénivelé. Les principaux facteurs sont des déséquilibres musculaires, des raideurs articulaires, une faiblesse des fessiers ou une technique de course inadéquate. Le traitement combine correction des facteurs biomécaniques, physiothérapie, repos relatif et reprise progressive de l’activité, permettant un retour plus rapide et sécuritaire qu’avec un repos complet.
ÉPICONDYLITE MÉDIALE (golfer's elbow)
L’épicondylite médiale, ou « tendinite du golfeur », est une douleur au tendon des fléchisseurs du poignet, située à l’intérieur du coude et pouvant s’étendre dans l’avant-bras jusqu’au poignet. Elle apparaît surtout à cause de gestes répétés, fréquente chez les golfeurs, lanceurs, joueurs de tennis ou travailleurs manuels. Une augmentation soudaine de l’activité, comme un voyage de golf ou des travaux de rénovation, peut aussi la déclencher. Prise en charge rapidement en physiothérapie, elle peut être traitée efficacement grâce à la thérapie manuelle et à des exercices adaptés, permettant de soulager la douleur, de retrouver la mobilité et de corriger les mouvements.
ÉPICONDYLITE LATÉRALE (TENNIS ELBOW)
L’épicondylite latérale, aussi appelée « Tennis Elbow », est une tendinopathie douloureuse du tendon des extenseurs du poignet. Elle cause une douleur à l’extérieur du coude pouvant irradier dans l’avant-bras ou le poignet, souvent ressentie lors de gestes simples comme saisir une tasse, tourner une poignée de porte ou utiliser un outil. Cette condition apparaît principalement à la suite de mouvements répétés en force du poignet et de la main. Elle touche fréquemment les travailleurs manuels et les joueurs de tennis, et peut survenir après une surutilisation prolongée ou une reprise soudaine d’activité, comme lors de rénovations ou au retour d’un sport de raquette. Une prise en charge rapide en physiothérapie permet de freiner sa progression et de soulager la douleur avant qu’elle n’empêche de travailler ou de pratiquer ses activités. La combinaison de thérapie manuelle et d’exercices personnalisés aide à accélérer la guérison, retrouver la mobilité et améliorer la biomécanique du bras.
ANKYLOSE POST FRACTURE / IMMOBILISATION
Après une fracture ou une luxation, l’immobilisation partielle ou totale d’un membre entraîne rapidement raideur articulaire, perte de force et diminution du contrôle moteur. Plus la période d’immobilisation est longue, plus les conséquences sont importantes. Une articulation immobilisée trop longtemps peut perdre une partie de sa mobilité, limitant ainsi les activités sportives ou professionnelles. Le corps compense alors par d’autres régions, ce qui augmente le risque de blessures, notamment au dos ou à l’épaule. Commencer rapidement la physiothérapie et les exercices à domicile permet de prévenir ces effets à long terme. Les traitements ciblent les facteurs musculaires et ligamentaires responsables de la raideur et, grâce à un programme d’exercices progressif, aident à retrouver force, mobilité et contrôle des mouvements.
ENTORSE LIGAMENTAIRE
Une entorse correspond à un ligament étiré ou déchiré, souvent causée par un mouvement brusque ou un contact. Les chevilles et les genoux sont les plus touchés, surtout dans les sports avec contacts ou changements de direction. 1er degré : Atteinte légère, sans perte de stabilité. Douleur lors du mouvement, peu ou pas d’enflure. 2e degré : Déchirure partielle, stabilité diminuée. Douleur au repos et au mouvement, enflure et ecchymoses fréquentes. Sensation d’instabilité possible. La physiothérapie est essentielle pour éviter les récidives. 3e degré : Déchirure complète, perte importante de stabilité. Souvent associé à d’autres blessures (ménisque, fracture). La chirurgie est généralement nécessaire. La majorité des entorses peuvent être diagnostiquées et traitées en physiothérapie. Toutefois, les cas graves nécessitent une imagerie médicale. Comme les ligaments cicatrisent mal, une rééducation adaptée — exercices de renforcement et de contrôle moteur — est indispensable pour réduire les risques de récidive et protéger l’articulation.
DÉCHIRURE MÉNISCALE AU GENOU
Le genou possède deux ménisques (médial et latéral), des anneaux de fibrocartilage qui stabilisent l’articulation et réduisent la pression sur les os. Ils peuvent être lésés à la suite d’un traumatisme (choc, entorse) ou de façon progressive avec les années. Les lésions vont d’une petite fissure visible à l’IRM jusqu’à une déchirure complète. Comme les ménisques sont peu vascularisés, leur capacité de guérison est limitée, et la chirurgie consiste souvent à retirer une partie endommagée. Cependant, retirer une portion du ménisque ne garantit pas la disparition de la douleur et peut affecter la stabilité et la biomécanique du genou, augmentant le risque d’arthrose précoce. La chirurgie devrait être envisagée surtout si le ménisque bloque le mouvement malgré un traitement en physiothérapie. Un diagnostic précis peut être confirmé par imagerie, mais un physiothérapeute peut identifier une lésion méniscale par des signes cliniques, comme un blocage du genou en descendant des escaliers, en s’asseyant ou en faisant un squat. Dans plusieurs cas, la physiothérapie suffit à diminuer la douleur, corriger les mouvements et prévenir l’aggravation de la lésion, évitant ainsi une chirurgie.
DOULEUR OU PINCEMENT À L'AINE
Les douleurs à l’aine peuvent avoir plusieurs causes, notamment des tensions ou claquages musculaires, ou un manque de mobilité de la hanche. Une sensation de pincement peut apparaître en pliant la hanche ou en croisant la jambe, souvent observée chez les joueurs de hockey en raison des efforts répétés du patinage. Les tensions des petits muscles stabilisateurs limitent alors la mobilité et modifient le mouvement de l’articulation. La hanche, articulation sphérique, peut aussi devenir douloureuse si le labrum (rebord cartilagineux) se coince entre les os, un peu comme les ménisques du genou. Heureusement, redonner souplesse et mobilité à la hanche aide à rétablir une biomécanique optimale et sans douleur. Enfin, certaines douleurs à l’aine peuvent provenir du dos ou être associées à des douleurs au genou ou dans la région génitale. Dans ces cas, une consultation en physiothérapie ou en médecine est essentielle pour écarter toute atteinte plus grave.
CLAQUAGE MUSCULAIRE
Un claquage musculaire survient lors d’un effort intense avec étirement du muscle, provoquant une douleur vive et un arrêt immédiat de l’activité. Il s’agit d’une déchirure musculaire de gravité variable, classée en trois grades. Grade 1 : simple élongation, douleur au mouvement et parfois légère perte de force. Grade 2 : déchirure partielle, douleur importante, perte de force notable, parfois chirurgie nécessaire. Grade 3 : déchirure complète, perte de force totale, saignement sous-cutané, chirurgie urgente. Les symptômes (douleur, perte de mouvement ou de force) varient selon la gravité. Un repos relatif avec exercices circulatoires est essentiel pour favoriser la guérison. Une prise en charge rapide en physiothérapie permet d’éviter l’affaiblissement musculaire, les compensations et les récidives lors du retour au sport.
RÉADAPTATION POSTOPÉRATOIRE EN ORTHOPÉDIE
Après une chirurgie orthopédique (fracture, prothèse ou autre intervention), la physiothérapie est essentielle pour retrouver mobilité, force et fonction. Une prise en charge rapide permet d’accélérer la récupération et d’adapter les exercices à vos besoins. Les services publics se concentrent surtout sur l’autonomie à la maison, mais pour reprendre le sport ou le travail en toute sécurité, il faut aussi rétablir la force, le contrôle et la mobilité afin de prévenir les blessures. Grâce à notre expertise en physiothérapie sportive, nous vous accompagnons vers un retour plus rapide et sécuritaire à vos activités.
HERNIE DISCALE
Une hernie discale correspond à l’atteinte d’un disque intervertébral, le plus souvent au cou ou au bas du dos. Elle cause des douleurs locales ou irradiantes vers les bras ou les jambes, parfois accompagnées d’une sensation de blocage. Être couché soulage souvent la douleur en diminuant la pression sur la colonne. Elle peut aussi provoquer des symptômes neurologiques (picotements, engourdissements, faiblesse), qui nécessitent une évaluation rapide. En cas de symptômes bilatéraux, associés à des troubles urinaires, fécaux ou une perte de sensibilité génitale, il s’agit d’une urgence médicale. Les signes peuvent ressembler à une entorse lombaire ou à une sciatalgie. Une évaluation en physiothérapie aide à préciser le diagnostic, orienter vers la médecine si nécessaire et mettre en place des traitements adaptés pour soulager la douleur, retrouver mobilité et améliorer la posture.
LOMBALGIE / SCIATALGIE / ENTORSE LOMBAIRE
Les douleurs au bas du dos, ou lombalgies, sont très fréquentes et peuvent apparaître après un effort soudain ou s’installer progressivement. Elles résultent souvent d’une combinaison de facteurs : tensions musculaires, manque de mobilité, posture au travail, à la maison ou même pendant le sommeil. Trouver une posture adéquate aide déjà à réduire les douleurs. Certaines lombalgies s’accompagnent de sciatalgies, avec des douleurs irradiant dans la jambe et parfois des engourdissements ou sensations de brûlure. Ces problèmes touchent autant les sportifs que les travailleurs manuels ou de bureau. Même si la douleur peut disparaître temporairement avec le repos, les causes sous-jacentes (mobilité, posture, contrôle moteur) persistent et s’aggravent avec le temps. La physiothérapie permet de cibler et corriger ces facteurs, afin de soulager la douleur et prévenir les récidives. Notre objectif est de vous donner les outils pour prendre soin de votre dos au quotidien, plutôt que d’apprendre à vivre avec la douleur.
TENDINITE / TENDINOPATHIE / TENDINOSE
Les tendinites et tendinopathies touchent les tendons, qui relient le muscle à l’os. Le terme est généralement associé au tendon atteint (ex. : tendon d’Achille, coiffe des rotateurs). Tendinite : inflammation à court terme, souvent causée par une surutilisation soudaine (ex. : début d’entraînement intense). Elle provoque douleur, brûlure ou élancement, plus marqués le matin ou après l’effort. Le repos relatif et les exercices spécifiques sont plus efficaces qu’un repos complet. Tendinopathie : usure à long terme, souvent liée à une surutilisation chronique ou une tendinite mal guérie. Le tendon perd son alignement, peut se fissurer et, dans les cas sévères, se rompre. Le traitement vise à réduire la douleur, corriger les mouvements et améliorer mobilité, posture, force et contrôle moteur. Avec des exercices adaptés, on peut protéger le tendon, reprendre les activités plus facilement et éviter les récidives.
BURSITE / BURSOPATHIE
Une bursite est une inflammation d’une bourse, petit coussin entre un os et les tendons, souvent au niveau de l’épaule ou du genou. La plus fréquente est la bursite d’épaule, qui se distingue d’une capsulite par une évolution plus rapide et des symptômes soulagés en quelques jours avec glace et anti-inflammatoires. Elle peut résulter d’un traumatisme ou de microtraumatismes répétés, comme la bursite du coude (« bursite de l’étudiant ») causée par un appui prolongé. Sans traitement, une bursite peut évoluer en bursopathie, entraînant douleurs persistantes et perte de mobilité.
CAPSULITE RÉTRACTILE
La capsulite est une affection de l’épaule qui évolue lentement en trois phases (douloureuse, rétractile et régressive), durant en moyenne 30 mois. Elle touche surtout les femmes entre 50 et 70 ans, généralement à l’épaule non dominante. Bien qu’incommodante, elle laisse rarement des séquelles et récidive très peu. La première phase provoque des douleurs, surtout la nuit, sans grande limitation de mouvement. Une prise en charge rapide en physiothérapie aide à réduire la raideur et à mieux tolérer les exercices. La deuxième phase entraîne raideur et perte de mobilité, rendant difficiles les activités quotidiennes. Les traitements combinant physiothérapie (exercices, étirements, mobilisations) et parfois injections de corticostéroïdes permettent d’améliorer plus rapidement l’amplitude. La troisième phase correspond à la régression des symptômes et au retour graduel de la mobilité, qui peut prendre 12 à 42 mois. Poursuivre les exercices est essentiel pour retrouver force et contrôle musculaire. Même si la capsulite est très limitante, le repos complet est déconseillé : il faut maintenir un minimum d’activité et suivre les exercices prescrits afin de faciliter la récupération et d’éviter d’autres complications.
CERVICALGIE / CERVICO-BRACHIALGIE
La cervicalgie est une douleur provenant du cou, parfois ressentie comme des maux de tête ou des douleurs dans le haut du dos et les épaules. Elle est souvent causée par des tensions musculaires, un manque de mobilité des vertèbres ou une compression nerveuse. La posture joue un rôle majeur : un mauvais alignement du dos et du cou augmente la tension et limite les mouvements. On distingue les douleurs mécaniques (pincements ou blocages lors des mouvements de la tête) et les douleurs neurologiques (brûlures, engourdissements, décharges électriques). Ces dernières peuvent s’aggraver avec l’activité, la fatigue ou le stress. Dans certains cas, elles s’étendent au bras ou à la main (cervico-brachialgie), car les nerfs du bras prennent naissance dans le cou. Il est essentiel de consulter rapidement si les douleurs sont accompagnées de vertiges, troubles de vision, pertes de force ou de sensibilité. La physiothérapie aide à réduire la douleur, restaurer la mobilité et améliorer la posture, tout en vous donnant les outils pour éviter les récidives.
SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN
Le syndrome du tunnel carpien est causé par la compression du nerf médian au poignet. Il entraîne engourdissements, douleurs au pouce et aux doigts, parfois des sensations de brûlure ou de froid, surtout la nuit ou lors d’activités manuelles. Il peut aussi provoquer une perte de force et de dextérité. Ce problème peut résulter d’un espace réduit dans le canal carpien ou d’années de travail manuel. Parfois, d’autres compressions du nerf (au coude, à l’épaule ou au dos) aggravent la sensibilité, d’où l’importance d’une approche globale. La physiothérapie aide souvent à éviter la chirurgie. Le port d’une orthèse la nuit peut soulager à court terme, mais si les symptômes persistent plus de 6 mois malgré les traitements, une chirurgie de décompression peut être nécessaire.
FASCITE PLANTAIRE
La fasciite plantaire provoque des douleurs sous le pied, surtout lors des premiers pas le matin, de la marche ou de la course. Elle touche l’aponévrose plantaire, une lame fibreuse qui soutient l’arche du pied et absorbe les chocs. Lorsque l’arche s’aplatit, le fascia s’étire et devient douloureux. Cette condition apparaît graduellement, souvent chez les coureurs, les personnes avec un pied plat ou celles qui passent de longues heures debout. Elle peut être déclenchée par un changement de chaussures, une modification du volume d’entraînement ou de la technique de course. Les orthèses soulagent en soutenant l’arche, mais ne corrigent pas la mécanique du pied. La physiothérapie, avec repos relatif, exercices de relâchement et renforcement, permet de traiter efficacement la fasciite plantaire et d’en réduire les récidives.
SYNDROME FÉMORO-PATELLAIRE
Le syndrome fémoro-patellaire regroupe plusieurs problèmes liés au frottement de la rotule sur le fémur. Il se manifeste par une douleur à l’avant ou sur le côté du genou, souvent en descendant les escaliers, en courant, en nageant ou en randonnée. La douleur peut aussi apparaître en position assise prolongée, comme à l’école ou en voiture, et varie selon la posture du genou. Ce syndrome est généralement causé par un débalancement musculaire des cuisses ou des fessiers, parfois combiné à des raideurs articulaires, une mauvaise posture ou une technique sportive inadéquate. Si le repos, la glace et les anti-inflammatoires soulagent temporairement, seule une rééducation progressive permet de corriger les causes. La physiothérapie, avec exercices ciblés de renforcement et de contrôle moteur, aide à réduire la douleur et à reprendre les activités de façon sécuritaire.
SYNDROME DE LA BANDELETTE ILIO-TIBIALE
Le syndrome de la bandelette ilio-tibiale touche surtout les coureurs et provoque des douleurs sur le côté du genou ou de la cuisse. Il résulte du frottement répété de la bandelette (un tissu fibreux reliant la hanche au genou) sur l’os, ce qui peut entraîner irritation et enflure. Il apparaît souvent après une augmentation soudaine du volume ou de l’intensité d’entraînement, ou un changement de surface ou de dénivelé. Les principaux facteurs sont des déséquilibres musculaires, des raideurs articulaires, une faiblesse des fessiers ou une technique de course inadéquate. Le traitement combine correction des facteurs biomécaniques, physiothérapie, repos relatif et reprise progressive de l’activité, permettant un retour plus rapide et sécuritaire qu’avec un repos complet.

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